Conversation 1272 - Dangers de l'immitation d'aliments interdits
Cet été je me trouvais dans un hotel avec une partie résevée aux Juifs et nourriture Cacher, restaurant séparé avec Chomrims venant de France. A un repas, il y a une un accident de parcours ayant pour résultat la présence d'un plat de véritables crevettes parmi le buffet de hors-d'oeuvres.
Personnellement, je n'ai jamais mangé de fruits de mer et, si j'étais passé quelques minutes avant au buffet, j'en aurais consommé, pensant que c'était Cacher.
N'y-a-t-il pas là une forte responsabilité de certains rabbins qui, à but commercial, ont accepté des imitations d'aliments interdits ?
Shalom,
Selon votre témoignage, il y eu une erreur dans le buffet, chose grave et dont la responsabilité incombe au chomrim et autres responsables du séjour.
Ceci n'a donc rien à voir avec le fait qu'il existe des plats ressemblants à ces mets interdits.
Si je ne me trompe pas il existe de nombreux poissons cachers ayant la meme couleur de chair et meme saveur que d'autres poissons interdits, les 1er ne sont pas interdit pour autant, il faut seulement etre vigilant. De meme les fruits permis ayant déjà passé les prelèvements de teroumot oumaasserot on le meme gout que ce qui sont entièrement interdits vu qu'il s n'ont pas encore été prélevés ( tevel) pourtant nous consommons les 1er, il faut là aussi etre vigilant et acheter chez un primeur en qui nous avons confiance.
Tout ceci n'a ma foi qu'un lointain rapport avec la question fondamentale, à savoir s'il est bon, bien, permis ou interdit de 'recopier' des mets interdits. Personnellement je n'y vois aucun inconvénient mais c'est certainement une question interressante de pensées juives que l'on peut devellopper une autre fois mais ce n'est pas un sujet hilhatique de loi alimentaire.