Conversation 14531 - La faim dans le monde, la fin d'un monde

mr le rabbin
voila mon pb,
une partie du monde roule sur l'or alors que lautre meurt de faim , est ce une fatalité et un ordre etabli ou le principe de tsedaka peut regler ce probleme ?
merci pr votre reponse et pr votre site
autre pb
il y a un j homme tres depressif ( au point davoir fait plusieurs tentatives de suicide ) qui a rencontré une jeune femme non juive qui a changé sa vie , vaut il mieux quil vive avec ou aurait il mieux valu quil ne la rencontrat pas et quil quitte ce monde ?
pr le 1er pb , je sais que les pauvres nexistent que pr faire la mitsva de tsedaka
pr le 2e pb , je sais quil y a 3 choses pour lesquelles on doit mourir
mais ds les 2 cas , je ne vois pas bien clair
merci de meclairer,,,

La pauvreté n'est pas réellement une fatalité, et si les hommes acceptaient de répartir plus équitablement les bienfaits de ce monde (sans devoir en arriver véritablement à une entière égalité, ce qui est encore plus utopique que ce que j'ai écrit) out le monde aurait à manger.
Il est vrai que certains textes parlent de la pauvreté comme un prétexte à la charité, mais cela ne signifie bien entendu pas que nous devons assurer la pérnité de la première.
La seconde question est évidemment délicate. Cependant, il y a une histoire dans le Talmud qui ressemble un peu à cette situation et où les rabbins ont préféré prendre le risque et ne pas autoriser une liaison interdite (Sanhédrin 75 a)