Conversation 47567 - Beli néder
Shalom
Je voudrais savoir et comprendre egalement si le fait de penser a faire une mitsva ou a donner de la tsedaka nous engage a le faire . Faut il dans ces cas la dire "bli neder" ? Et si de telles pensees nous passent par l 'esprit durant la amida ou a un autre moment ou il est impossible de parler ? D'autre part , dans quels cas precis le fait d"avoir accompli ume action ,disons , liee a un sentiment religieux , plus de 3 fois nous astreint -il soit a continuer soit a faire "atarat nedarim"? Merci pour ces eclaircicements qui nous eviteront peut etre de trop entraver notre spontaneite et d 'en rajouter et rajouter sans fondement hilkhatique.
Toutie
1. Il n’est de vœu (נדר) contre lequel il est recommandé, en cas d’inexécution, de se prémunir par la formule בלי נדר que lorsqu’il s’agit d’une décision ferme et définitive, mais non lorsqu’on en a eu simplement l’intention en son for intérieur.
2. Dans la plupart des cas, la décision que l’on peut prendre d’observer tel minhag nouveau équivaut à la formulation du vœu de le respecter.
En conséquence, l’abandon de ce minhag exige une התרת נדרים ou une שאילת חכם.