Conversation 48243 - Vivre selon la Tora en restant cloîtré ?

Lemakolze
Mercredi 29 juillet 2009 - 23:00

une autre question comme les 1000 et une question que je pourrais passez mes journées a passer..
On dis que notre corps ne nous appartient pas, et qu'il faut le rendre dans l'etat ou il nous a été donner.
Si l'on devais suivre le torah a la lettre, il faudrais vivre chez soi, manger dormir prier, le fais de sortir dehors , la ou il y a des toxines abimes notre corp de jour en jours, ne me repondez pas que c'est impossible de rester chez soi en famille et de sortir le moins possible et de prier toute sa vie , car si on a vraiment la foie, il faut faire comme c'est ecrit.
Que ce soit en israel, a nyc, les villes sont pollué et notre corp subie, quel difference avec le tatouage? Le tatouage est volontaire c'est la reponse à laquel je m'attend, mais si on a vraiment une foie profonde, ne devons nous pas rester chez soi vivre tout simplement, et ne pas s'abimer les yeux avec la lumiere de l'ordinateur, ne pas sortir pour ne pas risquer de se blesser, ne pas prendre de voiture pour ne pas polluer, et faire des transformations... Celui qui me repondras que cela est impossible? celui ci ne seras pas ce qu'est vraiment une foie.

Jacques Kohn z''l
Jeudi 30 juillet 2009 - 23:42

Si l’idéal pour un Juif était de se cloîtrer dans l’espace clos de son chez-soi, il est beaucoup de mitswoth qu’il ne pourrait jamais accomplir, comme monter à Jérusalem pour les fêtes de pèlerinage, participer à un minyan, et j’en passe bien d’autres…

L’existence du Juif ne se vit ni dans l’hédonisme ni dans l’ascèse, et il appartient à chacun de se définir par rapport à ses devoirs envers Hachem, à ses devoirs envers soi-même et à ses devoirs envers autrui. Ceux que l’on a envers autrui ne peuvent être remplis que moyennant une certaine dose de vie sociale, laquelle exclut la tour d’ivoire qui caractériserait un mode de vie voué à l’asepsie.

Quant aux pollutions qui nous entourent, qu’elles soient matérielles ou morales, ce n’est pas en leur tournant le dos que l’on y échappera et que l’on contribuera à leur abolition.