Conversation 14056 - Trop emotif pour se convertir?
shalom,
je suis en cours de conversion et j'ai beaucoup de mal à apprendre la lecture. (je sus étudiant infirmier et je consacres que peu de temps à l'apprentissage de l'hébreu malheuresement!)
après un an de cycle de cours avec l'excellent rav wolff à nice, ma conversion piétine. au paravant je travaillais comme aide soignant, ce qui veut dire que bien qu'étant prêt d'après le rav pour un premier examen de conaissance devant un beth din, je n'ai pas voulu spontanement me présenter car je tracailais le shabbat et vis à vis de ma coversin et dans un soucis d'honnéteté, j'ai renoncé.
voilà néanmoins que mo dossier est en "attente"au rabbinat de nice depuis maineant 5 ans. j'ai étudié, pratiqué pendant ce temps mais je ne fréquentai aucune synagogue, par crainte du rejet. je sais que cela est stupide, mais je ne savais pas comment prier dans les offices, tout le monde me regardait(sans pour autant m'aider), si bien que je me suis promis, d'une manière idiote certes, de ne plus entrer dans une choule sans savoir parfaitement faire les prières.
au mois de jun donc j'ai contacté un rav loubavitch car j'avais l'assurance avec lui d'apprendre les prières d'une facon parfaite et j'étais persuadé d'avoir "la rolls" des profs; rendez vous prit, il me recu de manière très cordiale et après lui avoir expliqué les motivations de ma conversion et de mon cursus, il m'invita chez lui pour la première "lecon" pour les prières. seulement voilà, je lis l'hebreu à deux à l'heure, il s'est impatinté et comme le sidour est intégralement en hébreu, il me conseilla de revoir mon alphabet avant de pouvoir prétendre à apprendre la téfilah. je susi repartit vexé, mais surtout honteux. depuis je ne l'ai plus recontacté, je n'oses plus l'apeller, j'ai honte. je suis parti comme ca, sans lui expliquer ma gene; maintenant je regrettes, j'ai même renoncé à ma conversion, mais là aussi l'appel du judaisme est plus fort. je veux me convertir. mais mon émotivité extrème m'empêche d'avancer. je ne sais plus quoi faire. je ne pratiques plus et pourtant je ressens aujourd'hui la grande necessité de refaire les prières, accomplir les mitvoths. pourim approche, et je songes déjà a qui je vais pouvoir envoyer les michloahs manotes (je n'ai quasiment aucune relation juive, a part ce rav et mon prof d'hebreu)
aidez moi, je sens que je dois me rapprocher d'akadoche baroukh ou et revenir dans mon judaisme.
cordial shalom
frédéric.
pourriez vous me donner la traduction de ha' mapil (d'après le sidour téhilat hashem)
Contactez-moi par mail, j'essaierai de vous mettre en contact avec quelqu'un sur Nice.
kahn@hanatziv.org.il
chers rabanim bonjour,
je sais que vous êtes subergés par les questions mais j'ai besoin, en cete période d'adar pourim, d'une réponse... et je rajoutes ceci à ma question (14056). cherchez vous des infirmiers en erets? je vous pose la question car si ma conversion ne peut se faire ici je partirai volontiers en israel pour me convertir. on m'a parlé de yeshivots qui acceptaient des candidats au guiyour. d'autres part, est ce qu'un goy en voie de conversion, hors mis le volontariat SAREL/UPI, peut servir comme soldat (infirmier de préférence) à tsahal?
merci pour votre grand dévoument
cordial shalom ve pourim sameakh'
Je viens de voir vos deux questions, et j'y répond simultanément.
Il n'est possible de se convertir en Israel qu'à condition expresse de s'y installer.
Au cas où cela entre dans vos projets, écrivez moi. Dans le ces contraire, j'essaierai de vous aider sur Nice (sans garantie de succès).