Conversation 21914 - A la recherche du Sinai perdu
Est-ce vrai que des chercheurs juifs ont retrouvé le mont Sinaii et qu'il y a des dessins du buisson ardent dessus ?
Il existe plusieurs propositions quand a la situatin geographique du Sinai dont l'une d'elle est le mont Carcour sur lequel sont effectivement dessinnees toutes sortes de fresques, mais ceci n'est pas une preuve suffisante, cela peut etre le travail d'une secte ou d'une quelconque tribu antique . A part cela il existe encore 4 ou 5 autres supositions sans aucune certitude que l'une d'elles soit la bonne.
Il nous faut souligner avant tout, que l'essentiel est ce qui a ete dit et transmit au Sinai et il importe moins de savoir quelle la situation geographique exacte de la motagne.
A propos de la 21914
J'ai en effet entendu dire qu'il a été retrouvé a l'endroit supposé du Sinaï une roche qui a des particularités etranges, en effet, des petits buissons y sont déssinés, et si on la casse on retrouve encore ces petits dessins a l'interieur, sur toutes les faces.
D'aprés les geologues celà est du a la fonte (inexpliquée) d'une grande quantité de magnesium.
D'aprés ce qu'on l'on sais, un grand feu est descendu du ciel lors du don de la Thora, c'est alors que le magnesium a certainement fondu....
C'est dailleurs ce qu'il est ecrit dans la chira de Deborah: Harim nazlou lifné Hachem.
D'apres vos dires, j'ai compris que vous posiez la question suivante: Est-ce que les roches en question (encore faudrait-il qu'une recherche scientifique ait examine le probleme sous tous ses angles) constituent une preuve de la Revelation de D. sur le mont Sinai?
Reponse:
1/ Qu'elles soient une preuve ou non, ces roches ne me derangent pas dans ma croyance en la Thora. Vous pouvez faire le meme rapport avec la Mer Morte (la teneur en sel exceptionnelle de la region, le point le plus bas de la terre) et le cataclysme decrit dans la Thora. Si cela existe tant mieux, mais sans plus.
2/ A propos du verset que vous citez (Juges 5. 5): "Les montagnes ruisselerent a la vue de D.": Cela est evidemment une parabole, convenant parfaitement a cette poesie, et ne saurait etre pris au pied de la lettre. Il montre la peur panique de toutes les creatures, meme les plus imposantes, lorsque D. se revele.