Conversation 1640 - Cacherout du
Bonjour,
je suis l'auteur du mail concernant le Coca Light Lemon et je prend mes sources auprés du Consistoire de Paris qui pour l'heure actuelle interdit ces boissons.
Des recherches continuent d'etre effectuees à ce sujet .
Merci de votre patience et de votre respect
Shalom,
Continuez donc à demandez a votre autorité rabbinique la marche à suivre.
Pour plus de précisions je vous renvoie à la réponse numéro 1648.
En complément à la question 1549.
Votre réponse est claire, limpide, ...
Mais votre réponse n'en est pas une et en France, tout le monde a reçu par mail celui que vous avez mis en copie. J'aurai préféré profiter de votre présence en Israel pour me dire si les points de vente alimentaires cacher vendent le Coca light lemon.
Meme le beth din de Paris n'est pas capable de nous répondre !
Shalom,
Je profite de votre question, pour confirmer un principe général dans mes interventions.
Dans tous les renseignements sur la cacherout, je m'efforce de vous indiquer avec le plus de précision la halaha en vous indiquant mes sources pour que ma réponse puisse etre un tremplin pour l'étude.
Je m'interdis, en tout cas, de porter un jugement de valeur sur des Hashagahot (surveillance) qui pourraient vous parraitre apparemment lekoula (moins rigoureuse). Je dit bien apparemment parce que les procédés techniques sont si variés et complexes et la halaha si subtile, qu'il n'est pas permis de faire des comparaisons entre autorité rabbinique.
Je prend pour exemple l'acide tartrique - objet de votre question - qui rentre dans l'élaboration du Coca Light. C'est exact que généralement cet acide est un sous-produit du vin. On peut donc admettre qu'il y à 3 cas de figures possibles qui seront cacher:
1. L'acide tartrique ne provient pas du tout du vin (produit de synthèse).
2. L'A.T provient du vin cacher.
3. L'A.T provient de vin non-cacher dans des conditions très précise de halaha (que je ne souhaite pas expliciter ici) est qui sont tout-à-fait licite et cacher.
Ces différentes positions ne permettent pas de faire des comparaisons entre autorités rabbiniques sur la simple base de la lecture de la composition du produit.
Autrement dit un produit autorisé en Israel ne laisse pas supposer que le meme produit est cacher en France ou autre part et chaque Beth din tient compte des circonstances particulières du pays ou il exerce.
Si vous voulez une réponse pour la France, demandez donc à votre autorité rabbinique.