Conversation 17766 - Judaisme et peine de mort
Que dit la torah sur la peine de mort?
Il est parler dans la tora pour plusieurs peches graves de la peine de mort. Cependant le talmud nous enseigne que d'un point de vu juridique juif il est tres difficile d'arriver a metre a mort un homme et que un tribunal qui arrivait a metre a mort un homme tous les 70 ans est considere comme un tribunal sanguinaire.
D'un autre cote il est aussi racconte que certains rabbanim on mit a mort (par leur tribunal) certaine personnes "pour l'exemple" ou autre raisons importantes a leurs yeux.
Kol Touv!!
Bonjour et merci de prendre le temps de repondre a nos questions qui n'ont peut etre pas toujours un grand interet...
Je voudrais poser une question concernant nos traites de loi... n'y voyez aucune critique de ma part mais un veritable besoin de'eclaircissement...
Il est ecrit " Tu ne tueras point" or les tribunaux d'antan avaient etablis que selon qu'un homme transgresse tel ou tel interdit il etait passible de la peine de mort!!!
Je me pose donc la question de savoir: Quel pouvoir avaient ces juges pour decider de la mort d'une creature de D.ieu ?
Pourquoi eux pouvaient ils tuer?
Et le bourreaux lui n'etaient pas juges alors qu'en etait il de son respect du commandement divin?
En vous remerciant par avance.
Désolé, l'article que vous citez n'existe pas : il n'est pas écrit dans les dix commandements tu ne tueras pas (lo taharog) mais tu n'assassineras pas (lo tirtza'h).
Ce ne sont pas les tribunaux d'antan qui ont établi ce que vous dites, mais le texte dde la même Thora que vous avez vous-même citée, bien que dans une traduction qui pour être répandue n'en est pas moins fautive.
Et cette même THora établit avec précision les conditions dans lesquelles une peine de mort pourrait être prononcée, etc. (mise en garde du coupable avant perpétration des actes prohibés, témoignages concordants soigneusement vérifiés avec un luxe de précautions dont vous n'avez pas idée)
Ce sont par contre les tribunaux en question qui ont décrété à partir d'un certain moment que les conditions prévues par la Thora n'étant plus réalisables dans la pratique, les sentences capitales ne seraient plus prononcées.