Conversation 31171 - Dépression
bonjour,
voila je suis une femme de 25 ans , mariée et avec un enfant d un an, mais voila , j ai repris le travail aprés mon congés de maternité , et tout allait bien , mais cela fait quelque mois, que je ne vais pas bien du tout,
je fai une sorte de dépression ,car je me sens incapable pour tout, et surtout pour le travail! j ai du mal a dormir et desfois mm je prends des cachets pour dormir mais ca marche une fois sur 2.
je n en peu plus, j ai tout pour etre heureuse mais le travail me gache tout! ca fai pratiqument 4 mois que je traverse de grandes et de petites crises ! et je n en peu plus !
que dois je faire pour que ce travail ne me bouffe la vie !!!!
je sui en bonne santé; ma famille aussi et c est ce qu il y a de plus important , mais voila je pense et repense au travail, .....
conseillez moi !!!! merci
Je ne connais pas votre situation financière, mais d'après vos propos c'est le travaille qui vous met dans cet état. Alors arretez de travailler. Le fait d'être mère au foyer et de vous occuper de votre enfant n'est pas une honte et vous n'avez pas à avoir de problème de concience pour cela. vous pourrez etre plus proche de vous même et de votre enfant et e votre mari. être mère au foyer ne veux pas dire être sans occupation. vous pouvez étudier et vous développer dans d'autre dommaine. Vous reprendrez le "boulot" lorsque vous vous sentirez capable. votre enfant et votre mari ont certainement plus besoin d'une maman en bonne santé que d'un salaire en plus. votre situation psycholoqique risque de déstabiliser votre couple et cela n'en vaux pas la peine. si votre situation financière ne vous permet pas d'arreter completement alors essayez un mi-temps.
il sera préfarable aussi de discuter de cela avec une psycholoque. cela n'est pas une honte et cela pourra vous redonner des forces.
Bonjour,
Je voulais intevenir au sujet de la dépression, qui reste obscur pour moi dans le contexte religieux.
J'ai lu quelques unes des questions et de vos réponses, chers rabbanims.
je ne sais pas si je suis passé par la mais je pense avoir eu des idées noires ou grises mais alors trés sombres.
De ce que j'ai pu comprendre, il n'est pas question à proprement parlé de depression mais de mélancolie.
Or de ce que j'ai pu ressentir par moi même, il y a vraiment des moments de déphasage total, une perte de repères et des actes qui même si ils sont en désaccord avec la halakha et doivent occasionnés une téchouva sont tout de même une façon (peut être pas la bonne mais la, comment trouver la bonne voie ?) d'avoir l'oxygène qui nous évite de tomber encore plus bas.
Une fois ressortit on se rend un peu mieux compte d'ou on reviens et de ce à quoi nous avons échappé.
Il est vrai que la téfila peut et doit aider dans ces moments la.
Mais ce mal être et ces difficultés sont parfois un héritage de nos parents ou grand parents.
Des comptes qu'ils n'ont pas pu règlés et qui nous reviennent et dans ce contexte j'ai un peu de mal à voir ce qu'en disent nos sages et nos écrits.
Je vous parle de quelque chose que je vis personnellement, d'une histoire pas trés saine que mon père a vécu et que je reproduis.
Je dois trouver la sortie de ce cercle vicieux pour pouvoir m'en sortir et surtout fair een sorte que mes enfants ne retombent pas dedans.
Les rabbanims ne m'ont pas trop aidé mais ce sont plutôt les psy qui m'ont aidé à comprendre certaines choses.
Ce qui ne veut pas dire que religieusement je me sois éloigné définitivement, mais ma émouna en a prit un coup dans l'aile.
Même si aujourd'hui je reviens et je vois les choses d'une manière différente.
Mais la je ne trouve pas de référence et de fil conducteur qui pourrait m'éclairer sur le chemin par lequel je passe et une aide autre que celle des psychologues.
Une référence plus taronique et plus proche de nos valeurs surtout pour m'aider à retruver le chemin que j'avais un peu perdu ces derniers mois.
Merci pour votre réponse.
La depression ou le mal etre est un des maux les plus etendus de nos jours. C’est en general le mal des personnes profondes, car Ashem a cree des etres porteurs de contraires: car "le bien contre le mal il a mis en nous" (quoelet). La solution: apprendre a regarder encore plus profondement. Deux chemins existent pour resoudre ce probleme: la racine d’une mauvaise pensee est une bonne pensee. Se battre contre une mauvaise pensee c’est lui donner de la valeur. Se rattacher a son essence c’est la supprimer. Par exemple la racine du plaisir c’est l’amour, la racine de la violence c’est le don de soi sans limite (messirout nefesh). La deuxieme formule: le travail spirituel qui apprend a prendre tout par la lumiere interieur, “car un peu de lumiere repousse beaucoup d’obscurite!” et le bien est toujours interieur et toute mauvaise pensee est exterieure…comme le fruit qui n’est doux qu’a l’interieur.