Conversation 8347 - Mazal,zivoug et conversion
Chalom et encore merci pour votre site.
Une question me tourmente beaucoup en ce moment.
je suis en voie de conversion depuis plus d'un an et il y a quelques mois, j'ai rencontré une jeune fille juive, religieuse.
Une grande amitié est née puis on s'est découvert beaucoup de choses, énormément de choses en commun au point ou nous envisageons de construire quelque chose, de fonder un foyer juif avec l'aide de d'.
ma question est la suivante :
un converti peut il être le zivoug d'une jeune femme juive? des rabbanim se sont ils penchés sur ce problême? si oui...ou puis je trouver des éléments de réponse? pouvez vous m'en apporter.?
Nous tenons énormément l'un a l'autre et nous souhaiterions que vous nous éclairiez à ce sujet...c'est très important pour nous. si nous voulons progresser.
Je souligne le fait que ma conversion est étrangère à cette jeune femme que j'ai rencontrée après avoir décidé d'embrasser le judaisme.
Par avance je vous remercie de tout coeur pour vos lumières ainsi que pour votre précieuse aide.
La question du zivoug telle que vous la posez ne présente pas d'intérêt. Les calculs divins ne doivent pas influencer nos décisions. C'est à nous de prendre nos reponsabilités dans le cadre du respect pe plus stricte de la Halakha.
La question qu'il faut poser est donc celle de savoir si vous avez le droit d'épouser cette jeune fille.
Si vous aviez posé la question avant que de la fréquenter, je vous aurais dit de ne pas anticiper et d'attendre que le processus de votre conversion soit arrivé à sa fin. Si elle m'avait posé la question avant, je lui aurais aussi dit qu'une personne ne voie de conversion n'est pas encore juive, et qu'il ne faut pas développer des relations trop intimes avec elle avant sa conversion.
Mais vous n'avez posé cette question ni l'un ni l'autre.
Si cela est possible, il serait bon de se fréquenter le moins possible jusqu'à la conversion.
En tout état de cause, vous aurez entièrement le droit de vous marier, une fois que vous serez juif; aucune halakha actuelle ne s'y oppose.