Conversation 18441 - J'ai des doutes
messieurs,
Je ne suis pas juive, mais depuis deux ans je m' intéresse beaucoup à cette religion. Au fur et à mesure d' étudier je me suis senti profondément juive. Mes parents ne sont pas juifs, ce n' est pas par mariage, c' est une forte et sincère attirance pour cette religion.
Il y a donc un an j' ai commencé à écrire des lettres de motivation au consistoire, et ce matin après de longs mois d' attente le consistoire m' appelé pour une première convocation. Cependant, j' ai peur... non pas de l' entretien mais parceque je me suis mise à douter: pensez-vous que cela signifie que je ne suis pas assez déterminée et sincère pour continuer?
Probablement.
Comme il s'agit d'une longue et périlleuse démarche, que rien ne vous y oblige et que selon la Tora vous remplissez votre rôle d'être humain de manière parfaite en vous conduisanr moralement (en respectant les 7 lois noahides), pourquoi vous lancer dans une telle aventure?
monsieur le rabbin,
Je vous réponds quand à ma question numéro 18441 où je vous parle de mes doutes sur ma conversion. En effet il peut parraître étrange de la part d' une non-juive, n' ayant même pas un lien de parenté avec cette religion de s y engager...
Si je me suis lançée dans cette démarche, c' est par admiration pour cette religion, et par amour. Ses croyances me correspondent, et j' aprécie les valeurs qu' elle inculque.
Mais il est vrai que devant la concrétisation d' un rêve, on se pose des questions. Comme vous l' avez dit devant cette "périlleuse démarche" que j' ai choisi (de mon libre arbitre) ;
la peur et le doute de faire le bon choix(car qui détient la vérité si ce n' est D.) arrive....
Il sera donc sage d'attendre de voir si cette attirance s'affirme.
Ce que vous avez de mieux à faire et de lire et d'étudier... pour voir.
monsieur, enréponse à ma question 18923, et bien cela fait deux que je pense à cette conversion et un an qu' elle è entamé, j'ai écri des lettres de motivation et j'ai réussi à obtenir cet entretien où le rabbin du cconsistoire ma demandé d'aller régulierement à la synagogue et d' apprendre certaines bénédictions.
Attendez d'être sûr de vouloir vous convertir. Si cela arrive, vous irez à la synagogue et commencerez à fréquenter une communauté.
Kvod ha Rabinim,
Il m'arrive souvent que je ne suis plus sûr si j'ai déjà récité une bracha ou pas. Ma question est qq je dois faire dans des cas pareils?
La question se pose (1) pour les brahot spécifiques(avant le mangé, birkat ha mazon, après la toilette etc) (2) Pour les brahot en général dans la mesure qu'il existe une réponse générale à ce sujet.
merci d'avance pour votre réponse
Chalom
A part le Birkate hamazone dans le doute, on s'abstiendra de réciter une bénédiction.
Bonjour
Je suis actuellement en relation avec mon amie depuis maintenant 1 an
et elle vient de m'avouer que avant hier
elle à passer la soirée avec son ex copain et qu'ils ont étaient prochement "tactillement"
elle me dit qu'il n'y a pas eu de baiser n'y rien d'autre (de toute facon elle attend le mariage)
elle e dit qu'elle regrette qu'elle doutait,...
je suis trés embarrasser par cette situation, car je suis fou amoureux d'elle je la voie comme ma femme et la mere de mais enfant..
cher Rav j'ai vraiment besoin de votre aide pour savoir que faire continuer ou tout arreter et si je continu comment refaire confiance et surtout comment s'assurer que sa n'arrivera plus.
chavouat tov
merci d'avance de votre reponse
Chalom,
Qu'attendez-vous de nous exactement?
De décider pour vous si vous êtes capable de passer l'éponge et d'oublier, ou si vous serez toujours poursuivi par ces aveux?
Et comment voulez-vous que nous sachions si cela se reproduira ou pas, sans même que nous connaissions et n'ayons jamais rencontré les personnes impliquées? Et quand bien même les aurions-nous rencontré, prenez-vous les rabbins pour des prophètes?
A vous de prendre seul vos responsabilités, ne les rejetez pas sur des rabbins que vous inviteriez à prendre pour vous des décisions qui concernent votre vie sentimentale.
Etre juif religieux ne consiste pas à se déresponsabiliser et à faire endosser par des rabbins ses propres responsabilités.