Conversation 8704 - Maasser a une Yeshiva
A qui peut on donner le maaser?
on ma dit que le maasser ne doit pas etre donner au pauvre justement mais a laide par exemple de letude de la thora ou qq chose comme sa
a qui puis je le donner?
Chalom,
On donnera le maasser de preference au pauvres, c'est lui qui en a le plus besoin.
On calculra aussi une partie de son salaire pour le donner a un institut devellopant la Thora. Il y en a beaucoup a commencer par les instituts que dirigent (ou sont actifs )les rabanim du site:
Rav Shaoul David Botchko: Yechivat Hehal Eliaou.
Rav Elie Kahn: Midreshet Ein Hanatsiv.
Rav Elie Kling: Hemdat Hadarom.
Rav Benjamin David: Institut Pouah.
Rav Elyakim Simsovic: Centre Yair Manitou.
Rav Mishael Roubin: Yechiva Chave Hevron.
Votre serviteur: Institut Mimizrah Chemech (recherche sur le judaisme social)
Cher Rav, deux petites questions concernant le maasser:
- y-a-t-il une mitsva de payer le maasser des que l'on recoit de l'argent, ou cela peut il attendre plusieurs semaines ou mois, l'important etant de le payer.
- a qui donner en priorite et dans quelle proportion? Si je dispose de 1000 nis par ex a distribuer, comment repartir les dons entre les yeshivot, associations de bienfaisance distribuant de l'alimentation aux pauvres, synagogues, victimes d'attentat...? Doit-on donner une part egale a chacun? Merci de m'aider a y voir un peu plus clair.
Le Maasser est dû sur les revenus annuels calculés de Tichri à Elloul. Si vous êtes salarié et que vous connaissez d'avance la moyenne de vos revenus, vous pouvez donner le maasser mensuellement ou trimestriellement, quitte à faire un ajustement dans un sens ou dans l'autre en fin d'année "fiscale" (fin Elloul). Sinon, vous pouvez choisir de donner le Maasser annuellement ou deux fois par an.
Il n'y a pas vraiment de hiérarchie si ce n'est qu'a priori les pauvres ont la priorité. Quant au reste, vous répartissez comme il vous semble convenable et en fonction de l'importance que vous octroyez au soutien de chacune de ces personnes ou institutions.
Puissiez-vous être toujours compté au nombre de ceux qui donnent.