Conversation 3190 - Un peu de canabis?
Bonjour a vous!
Nombres de questions sur l usage de la cigarette vous ont etes pose et vos reponses hilchatiques etaient claires et relevaient d une raison medicale - correlation faite avec "venishmartem al nafshotekhem".
Afin de ne point conclure assez rapidement d autres halakhots a partir
de votre explication , je me doit de vous poser la question suivante.
Est-ce permis d apres la halakha de faire usage de la plante du "canabis" ?
Sachant que:
Des etudes medicales et statistiques faite en ce sens ont prouve :
1- La plante en question ne provoque aucune dependance physique ou psychique.
2- Elle n entraine pas a la longue l usage d une quelqu autre substance (meme nocif et/ou entrainant une quelconque dependance ulterieure).
3- Utilisee moderement , cette plante naturelle ne nuit pas plus qu une consommation en chocolat ou cafe substances qui le sait on sont consideres comme des drogues douces (et comme on le sait tous exces est toujours nuisibles).
4- Cette plante est connue est utilise depuis longtemps par la civilisation chinoise voire aujourdhui par l industrie pharmaceutique pour ses vertus therapeutiques.
exemple: Comme anti-depresseurs elle ne presente pas d effets secondaires contrairement a des "cachets ou gellules blanche synthethise chimiquement et industialise".
5- L usage de cette substance peut etre fait en la fumant sans tabac donc pas de nicotine et autre et voire meme par decantation pour faire une boisson.
6- L usage n entraine pas de comportements aggressifs,condamnables,repugnants ,de dependances ou nocif coompare a l usage de l alcool.
En ce sens j aimerai avoir une reponse detaillee de maniere dignement hilkhatique.
Il me semble que nos sages tanaaims et amoraims, personnages emminemments grands, connaissaient sans aucun doute l usage fait.
Merci et shabbat shalom a vous.
voir réponse à la question 3676.
la consomation de canabis est-elle prohibée dans la torah ?
voir réponse à la question 3676.
Pour la question intitule par vous meme "un peu de canabis?"
cela fait plusieurs semaines que j ai pose la question mais je n ai tj pas
de reponses
j eprouve un grand respect envers vous "les defenseurs de la torah"
et dans ma vie j essaie de suivre les preceptes au maximum et me tenir dans le droit chemin tant que possible.
'sebastien' etant un nom tres rare je tiens a preciser que ce n est qu un pseudonyme pour eviter tous soupcons ou "motsi chem ra" de votre part envers un quelconque Sebastien que vous aurez l occasion probablement de rencontrer.
au sujet de la question je presume que vous vous trouve peut etre dans l impossibilite de repondre vu le faite que la torah attends toujours d un rav de repondre le plus honnetement possible et d autre part vu la consonnance au point de vu legalite a laquelle votre reponse pourrait s opposer .
si c est une question de temps alors j attendrai mais dans le cas contraire
je vous demande pardon et si vous voulez me donner une reponse en prive car ce sujet me preoccupe et l avis hilchatique m interresse beaucoup alors mon addresse mail est shalom4652@hotmail.com
merci pour tous
shabat shalom
voir réponse à la question 3676.
Quelles sont les idees de la thora sur les drogues douces et plus particulierement le canabis ; qui sont aujourd'hui tres consommees meme chez les jeunes dits pratiquants de la communaute juive ? S'agit t il d une grave transgression meme pour ceux qui pretendent le faire dans le cadre d'une "decouverte spirituelle" et sans idees de toum'a ?
chalom,
Nous avons deja recu de nombreuses questions sur le sujet. les rabbins de chéela ont préféré de n'a y réponse car cela semblait être une provocation. Cependant le style de la question presente montre que cela n'est pas une simple blague.
Vous évoquez un problème de société qui malheureusement existe comme dans tous les milieux. Cependant il faut relativiser la chose : la consommation de drogue chez les juifs pratiquants est très rare car considérée comme une dépravation!!!
Il est clair que la drogue est strictement interdite puisqu'elle met en danger physique, psychique et moral l'individu qui l’utilise, et la société toute entière.
Il n'y a pas de drogue qui soit douce!!! Même le cannabis a des répercussions sur le cerveau et les facultés intellectuelles. De plus, le consommateur devient dépendant de cette drogue, même douce, et finit tôt ou tard par consommer des drogues dures. La preuve de mes propos en est l'expérience de la Hollande, qui avait autorisé la vente de cannabis en espérant que, par cette autorisation, le public ne se tournerait pas vers les drogues dures. Après une période d’un peu plus d’une année, l'expérience a échoué. La vente de drogues dures n’a fait qu'augmenter, les vols et la violence avec.
Le bonheur ne se trouve pas dans les paradis artificiels.
Le bonheur, aux yeux du judaïsme, se trouve dans la vie de tous les jours: l'étude quotidienne de la torah, la famille qui vit en harmonie, l'aide et l'entraide, etc... Le reste n’est que futilité! Nos actes doivent être en accord avec l'étincelle divine qui est en nous et qui est la source de notre existence. Cette étincelle est éternelle et nos actes doivent tendre à l’éternité. Chaque matin nous rappelons dans la téfila, la guemara de Chabbat (127b): « Voici les actes à propos desquels l'homme jouit de leurs conséquences dans ce monde-ci et dans le MONDE FUTUR: le respect des parents, la charité, l'étude matin et soir, l'hospitalité, la visite aux malades, aider la mariée à préparer son mariage, enterrer les morts, étudier la signification de la prière, ramener la paix dans les ménages » La guémara conclut que l'étude de la torah est, par rapport à toutes ces mitsvot, la plus grande des mitsvot!!!
Voici notre programme éducatif. Voici le chemin du bonheur et de la jouissance selon nos traditions.
Il en est de même pour l'alcoolisme! La guémara nous raconte l'histoire de deux rabbins qui se sont saoulés le jour de Pourim afin de respecter la règle de « ne plus pouvoir distinguer Aman de Mordehay » . Cette petite fête se termina par un meutre: l’un des deux rabbins poignarda son ami! Du fait de cet événement, tous les livres de halakha nous recommendent de ne pas trop boire et de ne pas se saouler, même le jour de Pourim. Le but est bien de devenir gai, ou même de s'endormir, mais non de perdre la tête!!!
Toute drogue ou alcool qui nous fait « perdre la tête » va à l'encontre de la torah qui justement demande à l'homme de se maîtriser à chaque instant de sa vie. Cette maîtrise doit être totale, de sorte qu'un juif qui casserait des cruches dans son sommeil serait obligé de les rembourser. Il ne pourrait même pas prétendre que cela a été fait par inadvertance dans son sommeil, car l'homme est "Mouad leolam" responsable de ses actes à chaque instant!!! Tout moyen qui nous fait perdre nos facultés de libre arbitre ou de reflexion est donc condamné par la torah!
Le Séfer Akhinoukh (mitsva 123) précise que même lorsqu'un juif faute par erreur, ou méconnaissance de la loi, il doit apporter un sacrifice au Temple pour se faire pardonner. Pardonner de quoi pourtant ? Peut-on accuser un homme de faire une faute par inadvertance?
La réponse est qu'un homme est toujours responsable de ses actes. Un juif doit réfléchir à deux fois avant d'agir, il doit être "Zaïr", prudent, sans pour autant être paralysé.
le Rav Zvi Yéhouda Kook, fils du Rav Avraham Ystkhak Kook, devait se faire opérer de la jambe. Il refusa qu'on lui fasse une anesthésie générale et s’expliqua ainsi : « Toute ma vie j'ai lutté en étudiant la torah pour être maître de mes facultés, maître de mes pensées. Et vous voudriez me droguer et me faire perdre cette maîtrise de mon corps? »
Un tel degré de conscience et de réflexion ne convient pas à tout un chacun bien sûr, mais de cette histoire nous apprenons vers quelles vraies valeurs de ce monde-ci nous devons tendre.
Il faut bien sûr ajouter que l'utilisation des drogues douces est interdite par la loi, en France et en Israël, et que nous avons l'obligation de respecter les lois du pays où nous habitons: Dina Démalkhouta Dina. Enfreindre les lois du pays, c'est aussi enfreindre la torah! Et cela risque en plus d'entraîner un Hilloul Hachem, faute encore plus grave!!!
Le Rav Moshé Feinstein a déjà abordé ce problème dans son Responsa (Igrot Moshé Yoré Déa, tome 3, 35) (traduction non littérale) :
Des étudiants de la yéchiva ont commencé à fumer de la Marijuana. Il est clair que cela est interdit par la torah pour plusieurs raisons: cela détruit le corps, et même s'il y a des personnes à qui cela ne nuit pas à la santé, cela nuit à leurs facultés intellectuelles. Cela les empêche d'étudier la torah, de se concentrer pendant la prière. Faire une mitsva sans en être concient n'a aucune valeur. La drogue réveille des pulsions qui sont très difficiles à contrôler, et ce manque de contrôle est considéré très sévèrement. En effet la torah prône la peine de mort au Ben Sorrer Oumoré, l’enfant qui ne peut pas contrôler son instinct pour la viande et le vin, ce qui l'entraine à maudire ses parents. Poutant ce fils mécréant mange des aliments cachers vitaux pour sa santé. A plus forte raison il est interdit de réveiller des pulsions encore plus grandes que les pulsions culinaires, et qui n'ont aucune relation avec les besoins vitaux de l'homme. Selon le talmud (Sanhedrin 68B), le Ben Sorrer Oumoré est puni bien qu’il soit enfant, car son comportement démontre qu'il finira voleur et qu'il attaquera les gens pour se procurer de l'argent afin d’assouvir ses pulsions. C'est le cas de la drogue, qui est donc interdite par la torah.
Il faut rajouter que les jeunes qui fument provoquent un grand désarroi chez leurs parents. Ils enfreignent ainsi la mitsva du respect des parents.
Ils enfreignent aussi la mitsva de la torah, « Kedochim tiyou », "Soyez saints" (Vayikra, chap 19), qui selon le Ramban signifie: « Soyez saints dans toutes vos actions, même dans les actions qui sont autorisées par la torah, comme manger de la nourriture cachère, boire ou avoir des rapports conjugaux avec son épouse. » Ces actions sont autorisées, mais il faut les faire avec respect et modération. Ne pas se "goinfrer" ni de viande ni de vin, parler d'une manière pudique... En résumé, avoir une attitude saine et sainte.
Au rav Feinstein de conclure: fumer de la drogue est donc interdit par la torah et il faut faire tous les efforts possibles pour faire disparaître cette impureté du peuple d'Israel.
chalom
question 3676 - canabis.
Il parait que le canabis peut agir en tant que médicament à la place d'antianxiolytiques et son usage serait alors préférable aux médicament dans des cas précis : je pense à un épileptique qui ne prend pas de médicaments et parvient à normaliser sa maladie par un mode de vie tout-à-fait calme et grace à la consommation modérée de cannabis
Tant que la loi interdit l'utilisation, la position de la halakha est clair. il est interdit d'enfraindre les lois du pays: Dina Demalkhouta Dina. Si la loi change et qu'il est prouvé que dans certains cas que cela n'est pas de la dépravation mais un moyen thérapeutique, alors il faudra réétudier le problème en prenant compte de l'avis des médecins sur le cas spécifiques qui en fera la demande.
chalom
chalom rav
Jai une question importante pour ke je puisse avancer ds la bonne voie voila depuis lage de douze ans jai grandi en fumant du cannabis disont kune grande partit de ma jeunnese ca a ete mon seul passe temp mais maintenant ke je grandi je commence a men detacher mais je continue jaimerais savoir par rapor a la tora kelle en sont les consequance est ce ke c une avera ?une fois on ma dit ke le movais c est plutot du coter spirituel de la chose ke le hibour avec achem se detruit jaimerais tt savoir pour tt vous dire sa fait quelke moi ke jai arretre mais jen est encore vraiment envie et je voudrais savoir si je peu penser a une vie avec cette chose
excuser moi si cette kestion vous choke mais je suis un peu perdu
Si vous avez laissé cela derrière vous et fait Techouva, ayez confiance en la bonté de Hachem.