Conversation 41990 - La « tradition du mantsapakh » (Meguila 2b)
Shalom aleikhem, Rav,
la tradition du mantsapakh (Meguila 2b) pourrait-elle être comprise comme une distanciation juive vis-à-vis des prétentions samaritaines à une parenté commune, en indiquant que le vrai message de la Torah, le monothéisme éthique qui s'y trouvait dès les Tables de la Loi, et qu'ont explicité les prophètes, n'a pas été accepté par les Samaritains ni les Israélites du Nord ?
Bivrakha neemana
(Par ailleurs, puis-je me permettre de vous relancer pour le livre lo katouv kakh baTanakh?)
Les lettres appelées « mantsapakh » dans la Guemara Meguila 2b ne désignent rien d’autre, comme l’indique Rachi, que les cinq lettres de l’alphabet hébraïque (mèm, noun, tsadé, pè et kaf) qui présentent des formes différentes lorsqu’elles se trouvent à la fin d’un mot.