Conversation 5782 - Service national pour filles
chalom oubracha
le rav mordechai elyahou a interdit au fille d'aller au שרות לאומי
alors pourquoi personne ne l'ecoute pour ce psak et vons le voir que pour demander des brachot n'est ce pas la de l inssolence
Il faudrait poser la question a ces personnes.
en reaction a la question 5782, n est il pas vrai qu un psak (houmera) n a de valeur que si il est suivi par les pratiquant?
Ensuite je ne comprend pas que ce questioneur "se frotte les mains" qu on interdise aux Bnot Israel de servir le pays?
Que ce questioneur fasse son service dans Tsaal, et resente la Kedousha que l on resent en servant Israel.
Votre missive comprend trois parties, seule la premiere me concernant.
Vous parlez de psak et de h'oumra. Ce n'est pas exactement la meme chose, et la definition de ce qui est une h'oumra n'est pas evidente.
En tout etat de cause, la question de savoir si une decision rabbinique est suivie par le grand public n'est importante que pour ce qui est appele gzera ou takana, c'est a dire pour une nouvelle decision prise par le Sanhedrin. Nous n'avons plus de Sanhedrin, et aucun rabbin n'est habilite aujourd'hui a innover de nouvelles lois. Toutes les decisions rabbiniques actuelles sont des applications de lois existantes, et ne sont donc pas concernees par de principe (il y a une petite exception, mais cela est un peu pointu).
Sur le fond, je suis d'accord avec vous qu'il faut encourager les jeunes filles a servir le pays.