Conversation 7150 - Priere pour avoir des enfants

Je ne pense pas que vous devez avoir si peur de ne pas avoir d'enfants. Sur toute la population il n'y a "que " 12 pour cent des couples qui sont confrontés à des problèmes de stérilité. La progression à grands pas de la médecine et l'aide de Akadoche Barouh' ou, donnent des solutions à près de 90% de ces couples!! il ne faut donc pas s'inquiéter.
Un des problèmes majeurs de notre société est que les femmes se marient de plus en plus tard. Elles ont donc plus de difficultés à tomber enceintes. La solution est donc de se marier plus jeune.
il est cependant bien de prier pour vous et pour toutes ces femmes qui font des traitements de fécondité.
envoyez-moi vos coordonnées sur mon mail personnel afin que je vous envoie une brochure de prière: david@puah.org.il
chalom.

LA PRIERE INFLUENCE-T-ELLE LA REUSSITE DES TRAITEMENTS DE F.I.V. ?

Par le Rav Benjamin David,
Rabbin consultant
Responsable du département francophone de l'Institut Pouah.

D-ieu détient dans sa main trois clés : la clé de la pluie, la clé de la résurrection des morts et la clé de la grossesse (1). Rabbi Yohanan tire cet enseignement du verset « Et D-ieu se rappela de Rah’el et la rendit féconde »(2).
C’est pour cela que nos matriarches Sarah, Rivka, Rah’el et Léa se sont tournées vers D-ieu pour avoir des enfants.
Le Talmud, dans le Traité de Bérah’ot (3), développe en particulier la prière de H’anna dans le Tabernacle. H’anna était consciente que, grâce à sa prière, Hachem lui avait donné un enfant. C’est la raison pour laquelle elle appela son fils Chemouel, de la racine Cha-a-l (demander), comme le dit le verset : « Et elle lui donna le nom de Chemouel : parce que j’ai demandé cet enfant au Seigneur »(4).
Après avoir sevré Chemouel, H’anna l’amena au Tabernacle et remercia D-ieu en ces termes : « C’est pour obtenir cet enfant que j’avais prié, et l’Eternel m’a accordé ce que je lui ai demandé »(5). La guémara nous enseigne aussi de l’épisode de H’anna l’importance du fait que d’autres prient pour ceux qui sont dans le besoin. Rabbi Eléazar tire cet enseignement du fait que le Cohen Gadol Elie a béni H’anna en ces termes : « Vas donc en paix, et que le D-ieu d’Israël t’accorde ce que tu as demandé »(6).
Un autre exemple célèbre de prière pour autrui : la prière de Itsh’ak à D-ieu à propos de sa femme Rivka, qui était stérile (7). Depuis toujours dans la tradition juive, les couples sans enfants prient pour que D-ieu soit miséricordieux et leur accorde des enfants. De même qu'ils demandent aussi aux autres de prier pour eux.

Bien que nous n’ayons point besoin de preuves scientifiques pour nous confirmer l’efficacité de la prière, une enquête a été menée par le Département de Gynécologie et Obstétrique de l’Université de Colombia aux Etats-Unis sur un échantillon aléatoire de 200 femmes en traitement de fécondité (8). Ces vingt dernières années, les traitements de FIV ont émergé comme une option potentielle pour les couples atteints d’infertilité. Or, durant les 10 premières années d’utilisation de ce type de traitements, les succès étaient encore faibles mais depuis, les résultats sont bien plus probants. Jusqu’à présent, il n’y avait pas eu d’études sur l’implication de la prière dans la réussite des traitements contre l’infertilité, et c’est pourquoi les chercheurs de l’Université de Colombia ont décidé de mener cette prospection.

Après avoir sélectionné environ 200 femmes en traitement de FIV, ils se sont rendus compte que les résultats statistiques montraient un pourcentage double de grossesses dans le groupe des femmes traitées et pour qui un groupe de personnes avait prié, avec 50 % de grossesses, par opposition au pourcentage obtenu dans le groupe des femmes traitées et pour qui personne n’avait prié, et qui ne s’élevait qu’à 26 % de grossesses.
Les résultats de cette enquête témoignent d’une façon claire de l’efficacité de la prière intercessionnaire sur les traitements de FIV .

Bien que nos rabbanim n’aient pas lu ce compte-rendu, ou même mené d’enquêtes, depuis toujours, ils proposent aux couples en attente d’un enfant, et à leur famille, de lire chaque jour ces textes :
Bérechit chap. XXI versets 1-2. Bérechit chap. XXV v. 21. Bérechit chap. XXIX v. 31-35
Bérechit chap. XXX v. 22-23.
Livre Samuel 1 chap. I: la prière de Hana.
Les Juges chap. XIII: naissance de Samson.
Les Rois 2 chap IV.
Psaumes de David: 102; 103; 128; 130;

Nous proposons donc au lecteur de participer à cette mitsva et de prier pour tous les couples qui n’ont pas d’enfants.
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1 : Taanit b-b
2 : Berechit, chap. XXX, v. 22
3 : Traité de Brahot, 31-a, 31-b
4 : Livre de Samuel, chap.I, v. 20
5 : Livre de Samuel, chap.I, v. 27
6 : Guémara, Traité de Brahot, 31b
7 : Berechit, chap. XXV, v. 21
8 : The journal of Reproductive Medicine online – Septembre 2001, Vol. 46

chère Mme Juliette,
Sachez que l'Institut Pouah est à votre disposition et nous serons heureux de vous diriger et vous conseiller. Je ne crois pas trop aux infertilités inexpliquées. Cela ne veut rien dire. Cette définition risque de vous décourager, et il ne faut surtout pas abandonner car vous n'avez pas 20 ans pour attendre.
vous pouvez me joindre à notre bureau 00-972-2-6515050 ou par mail: david@puah.org.il
il est clair qu'il faut aussi prier hachem, car la clé de l'enfantement est dans Ses mains, comme le dit le talmud (traité de taanit). Il est bien de dire ces versets de la bible qui racontent que des femmes ont prié et sont tombées enceintes:
Bérechit chap 21 versets 1-2.
Bérechit chap 25 versets 21.
Bérechit chap 29 versets 31-35.
Bérechit chap 30 versets 22-23.
Samuel 1, chap 1.
Juges chap 13.
Rois 2, chap 4.
Psaumes 102; 103; 128; 130
bonne chance
il est bien sûr recommandé de donner de la tsedaka et d'aider les gens qui sont dans le besoin.