Conversation 26757 - Je t'aime, moi non plus
Bonjour,
j'ai une question sur le mazal.
Voilà, je pense avoir trouvé mon mazal cependant lui ne pense pas que je sois la fille qui lui convienne. Pourtant moi je pense vraiment etre sure et certaine que c'est LUI et pas un autre. Pour le moment je crois qu'il est jeune(20ans) et a peur de s'engager. Il a surtout envie de s'amuser en réalité.
Mais est-ce possible qu'une personne n'ai pas de mazal? Ou y-a t-il vraiment une personnes faite pour une autre?
J'ai vraiment peur de me retrouver toute seule (je n'ai que 21ans mais je veux fonder une grande famille et je dois donc m'y prendre assez tot) et pour moi c'est vraiment lui l'homme de ma vie. Dois-je attendre qu'il murisse tout en etant incertaine de son retour ou dois-je me resigner à trouver quelqu'un d'autre?
Je vous remercie de l'aide que vous pourrez m'apporter. Je suis désolée si mon mess est un peu "brouillon" mais je suis encore sous le choc de la rupture et ce n'est pas facil.
Encore merci à vous et shabbat shalom.
Chalom,
Vous êtes effectivement encore un peu jeune pour vous inquiéter.
Le monde est plein de garçons religieux, ayant le sens des valeurs, sympathiques et mignons.
Et l'idée du mazal est trompeuse. Ne croyez pas qu'il y a un prince charmant désigné qui vous attend.
Lisez les réponses données à ce sujet sur le site.
Et ne vous angoissez pas, vous feriez fuir les garçons.
bonjour
voila j'aimerai bien avoir un conseil de rabanim par rapport a ce qu'il m'arrive.
l'année derniere j'ai rencontré un garcon du meme age ke moi: 20ans dans de tel circonstance que j'avais vraiment l'impression qu'Achem me la envoyé,il m'est tombé du ciel dans une periode ou j'avais vraiment besoin. Nous etions donc ensemble pendant pres de 7mois. au bout de 7 mois il me dit qu'il ne voulait plus continuer avec moi alors que l'on parlait de projet de fiancailles,il me disait qu'il ne voyait pas sa vie sans moi,j'avais rencontré ses parents...
moi je pense vraiment que c'est mon mazal,je l'ai poussé a allé a la yeshiva durant l'été, je me suis enormement investi et lui aussi.
cet été nous avons passé une partie des vacances ensemble mais sans avoir aucune relation amoureuse et je me suis rendue compte que c'est vraiment lui que j'aime,qu'il a tous ce que je recherche chez un garcon,a tous les niveaux et surtout au niveau religieux mais aussi au niveau de sa famille avec laquelle je m'entend bien Barouh ACHEM j'ai meme passé les fetes de simha Torah chez ses parents(lui a un studio il n'habite pas chez eux!) .recemment j'ai decidé de lui demandé s'il etait vraiment sur de ne pas vouloir reprendre avec moi et il m'a repondu qu'il ne voulait plus. du coup j'ai coupé tout contact avec lui,sauf avec sa soeur qui est une tres bonne amie a moi.je n'arrive pas a tourner la page,j'ai confiance en ACHEM et j'ai vraiment l'impression que c'est lui mon mazal,je l'espere tellement.je ne sais plus quoi faire.peut etre pourriez vous m'aider,m'eclairer???
merci infiniment
Chalom,
Il na faut pas faire de tout chagrin amoureux une question théologique qui doit être résolue par des rabbins.
Vous aimez un garçon qui vous a aimé et qui est arrivé à la conclusion qu'il ne veut pas bâtir son foyer avec vous.
C'est un petit chagrin d'amour dont vous vous remettrez.
bonjour et bravo pour votre site! j'ai un problème car je suis avec un garcon divorcé depuis plus d'un. J'ai 28 ans.Moi je suis à fond ds la relation, je tiens grave à lui et lui aussi je le sais même si il le montre pas toujours! le problème est que pr l'instant il a des problèmes et il me rend pas toujours heureuse et je pleure souvent et de plus on ne peut pas se marier pour le moment à cause de ses problèmes! est ce que j'attend un peu pour voir ou cette relation va nous mener ensemble ou est ce que je dois arrêter tout de suite. mais j'ai déja fait un essai et je me sentais trop mal j'ai trés peur de faire une dépression si je dois arreter avec lui! on s'aime tous les deux et moi je suis prête à tout pour lui!
merci
Chalom,
Comment vous répondre sans vous avoir jamais vus, ni vous, ni le garçon.
Et vous n’expliquez pas non plus le problème : pourquoi cette relation ne vous rend pas tout le temps heureux ? Est-ce un problème passager ou un problème durable ?
D’un autre côté, on n’est pas obligé de sentir le bonheur intégral à tout moment.
Je ressens un certain malaise face à certaines questions posées sur le site et je profite de la vôtre pour en faire part à nos lecteurs : n’y voyez donc rien de personnel.
Un grand nombre de questions ont tendance à prendre Cheela plus pour un site « courrier du cœur » que pour un site de Halakha. Il est vrai que les rabbins sont là pour aider les fidèles à mener leur vie conformément à la Halakha et que cette dernière a aussi son mot à dire à ce sujet. Mais les problèmes romantiques ne relèvent pas vraiment de notre domaine. A chacun de prendre ses responsabilités, et de CONSULTER DES SPECIALISTES si nécessaire.
Il y a 2 ans, j'ai rencontré un jeune homme religieux pour lequel j'ai eu le "coup de foudre" bien qu'il me semble que le terme soit un peu galvaudé par rapport à ce que j'ai ressenti pour lui. Il est très beau mais je n'ai vu que l'aura qui l'entourait, une aura de lumière, et en regardant dans ses yeux, je l'ai connu intimement: j'ai connu des choses sur lui, sur son âme. Mon intuition est qu'il s'agit de l'homme de ma vie mais nos rapports sont difficiles. Nous ne nous parlons plus - bien que nous ne soyons pas fâchés. Je n'ose pas reprendre le contact (après plusieurs tentatives) car je me dis que c'est plutôt à l'homme de faire des avances. Et puis je ne suis même pas sûre de ses sentiments bien que je vois bien que je l'attire physiquement - ce qui ne me suffit pas. Je suis très malheureuse de cette situation, je n'arrive pas à avancer dans ma vie. Merci de bien vouloir me mettre sur la voie.
Si ce que vous dites à propos de la faculté radiographique de votre regard est vrai, et qu'il le sait, peut-être a-t-il simplement peur de vous ? Nous n'aimons pas tellement être si transparents, ce qui nous fait nous sentir vulnérables.
Ce que je dis est pure hypothèse, il faudrait le connaître un peu plus que pas du tout - ce qui est mon cas - pour pouvoir en juger.
Mais je ne connais en fait qu'une seule solution : lui poser la question. Il ne s'agit pas de se jeter à sa tête, mais simplement de clarifier les choses : s'il n'y a rien à espérer, il faut tirer un trait, tourner la page, et chercher ailleurs (je sais, cela implique aussi beaucoup plus de peine et de larmes que ce qui est ici brutalement écrit, mais il ne sert à rien de faire semblant que c'est facile ; ça ne l'est pas)
Il arrive parfois, avec beaucoup de chance, qu'un ami commun (ou une amie) puisse servir d'intermédiaire lorsque l'intéressé(e) n'y arrive pas seul(e). Et l'interpellé(e) peut aussi répondre plus franchement - on hésite souvent à faire de la peine en disant, "non, de mon côté, c'est de l'amitié fraternelle, pas de l'amour..." à quelqu'un qui quant à lui se languit.
Comment ne pas se laisser décevoir par les autres au point d'en souffrir terriblement? Je commence par rejeter la faute sur moi-même, puis les choses en venant à stagner, je me dis que finalement je ne suis peut-être pas la seule responsable. Merci de votre réponse cher Rav Simsovic.
Il est certes rare d'être seul responsable d'un hiatus dans les relations interpersonnelles. Toutefois la manière dont cette question est posée doit nous faire réfléchir.
On ne peut pas être déçu par les autres si on ne leur a pas accordé pour commencer une confiance qu'ils ne méritaient pas. Peut-être faut-il donc commencer par exercer une certaine prudence, ne pas trop attendre de qui que ce soit et de voir petit à petit comment les choses se développent.
Les amitiés vraies sont rares et d'autant plus précieuses. Mais on peut établir de franches camaraderies avec ce qu'elles impliquent, tout en gardant une juste réserve.
Mais comme dit le renard au Petit Prince, on risque de pleurer un peu quand on s'est laissé apprivoiser...