Conversation 29852 - Questions diverses
1) ma femme doit se verifier (lors de la periode nidda) avant la chkia, dans les jours "ordinaires".
peut elle se verifier par exemple 2 heures avant la chkia ?
2) apres arret de la prise de la pilule, jusqu'a quand pouvons nous encore avoir des rapprochement et/ou des rapports ?
le lendemain est ce possible compte tenu de l'effet de la pilule d'au moins 24 heures ?
3) nous utilisons du gel lubrifiant pour le rapport.
que pouvons nous utiliser Chabbat ?
merci d'avance
1-Oui on pourra faire une bdika plus tot.
2- Le jour ou les regles sont prevues (cela doit etre une date fixe a cause de la pilule) les rapports seront prohibes .
3- Je vois pas de solution.
bonjour
mon cousin qui es né d un pere juif ashkenaze et d une mere espagnol ve ce convertir.
1 . il ve prendre le rite sefarade espagnol .esque c est possible ?
2 IL VEUT PRENDRE 3 PRENOM hebreux es que c est possible ?
3 il ve prendre le prenom Hai Shaul Levi ben Avraham avinou.
dans le cas ou si la famille qui est ashkenaze mais qui pratique le rite sefarade . ou qu une famille sefarade pratique le rite ashkenaze comme c etait le cas a budapest en hongrie pour les famille d origine sefarade marrane LOPES ,MODIANO, PEREZ,TERUEL,PEREIRA,ALBAHARI...
MERCI DE VOS REPONSE .
Chalom
La réponse est positive à toutes les questions.
Il peut choisir le rite qu'il veut, avec une préférence pour celui pratiqué dans la communauté de sa ville, s'il n'y en a qu'une.
Et il peut choisir autant de prénoms que bon lui semble.
C'est gratuit, pourquoi se contenter de trois?
bonjour chers rabanims, jje voulais vous poser quelques questions techniques de choses et gestes que l'on fait avec automatisme sans en comprendre le fond:
- pourquoi fait-on une hazara après la amida?
- pourquoi fait-on trois pas en arrière avant la amida?
- pourquoi ne peut-on pas parler entre netilat yadaim et motsi?
- Pourquoi tremper le pain dans du sel?
Merci de méclaircir sur ces quesions
- La répétition de la ‘amida par l’officiant trouve son origine dans la Guemara Roch hachana 33b. Dans une discussion autour de la ‘amida de Roch hachana, tandis que Rabbane Gamliel considère que l’essentiel est dans la répétition par l’officiant, les Sages sont d’un avis contraire et considèrent que c’est la prière individuelle qui prime.
En conclusion de cette discussion, la Guemara fixe la halakha selon Rabbane Gamliel à Roch hachana, mais suit dans les autres cas l’opinion des Sages.
C’est ainsi que s’est maintenu l’usage de la répétition, qui respecte les deux opinions.
- Selon une opinion mentionnée dans le Choul‘han ‘aroukh Ora‘h ‘hayyim 95, 1, on doit faire trois pas en avant lorsqu’on commence la ‘amida. L’usage s’est cependant répandu d’effectuer auparavant trois pas en arrière (Michna beroura 95, 3).
- On ne parle pas entre le lavage des mains et la consommation du pain étant donné que la berakha sur le lavage est indissociable de celle sur le pain.
- On trempe le pain dans du sel en souvenir des sacrifices : « Sur toutes tes offrandes tu mettras du sel » (Wayiqra 2, 13).
Bonjour,
1) je voulais savoir si un hazan marié (qui lit les parachiotes,et fait les offices de kipour et roch hachana) devait etre obligatoirement chomer chabbat?
je vous dis ca car je connais une synagogue qui a un bon hatan mais je l'ai vu porter son talit le shabat.
La communauté est en majorité traditionaliste. Si c'est une avera, ais-je l'obligation (cela etant tres genant) d'en parler au rabbin?
2)j'ai une autre question, est-ce qu'un goy doit obligatoirement porter la kippa dans une syna?
3) Le pantheon est/etait une Eglise. Je pense que je n'ai pas le droit d'y entrer. Cependant, j'ai eu un doute car l'an dernier, Jack Chirac a fait un grand discours là bas pour la memoire des justes et il y avait beaucoup de personnalités juives, et je ne veux pas me tromper, mais il me semble même qu'il y avait quelques rabbins.
y a -t-il des exeptions?
Merci d'avance
merci
Chalom
1. Je ne crois pas que vous devriez vous mêmer de cela.
2. Je pense que par respect, il doit le faire. De même qu'il ne me viendrait pas à l'idée d'entrer dans une mosquée avec mes chaussures.
3. Le Panthéon ne sert pas de lieu de culte.
reference 40585
pardon je me suis trompée de numero, je parlais de la 40468.
vous me demander pourquoi interdire le pantheon? parce que c'etait une Eglise, et qu'il y a encore quelque croix à l'interieur, et il me semble que les lieux de cultes chretiens ne sont pas permis pour les visites (je crois qu'il n'y a que les batiments de cultes musulmans que l'on peut)
merci
Chalom
C'était une église, mais c'est aujourd'hui un monument profane.
Il n'est pas interdit d'entrer dans un endroit où il y a des croix, si ce n'est pas un lieu de culte.
Shalom Rabanim quelques question,
1-Si les femmes sont Ptourot des mistvot assé de la Thora qui dépendent du temps, pourquoi doivent-elles manger la Matsa le soir du Seder et pourquoi doivent-elles faire le kidouch (du shabat)
2-Pourquoi les 4 coupes de vin du soir de Pessah ne figure pas parmi les 7 mistvoth des Rabanan?
3-Dans Masehet Berahot (chapitre 5 ) nous apprenons qu'on ne doit pas dire "Chema Israel" deux fois d'affilé car ceci est considéré comme si on s'adressait à deux divinité (has wechalom).
Dans ce cas , pourquoi a t'on le droit de dire deux fois d'affilé "Ashem Meleh...." ou "Ymloh" par exemple...?
Merci d'avance, Kol touv
Chalom et merci de vos questions,
1. Effectivement, les femmes ne sont en principe pas obligees d'observer les Mitsvot positives liees au temps. Si donc elles ont l'obligation de manger de la Matsa le soir de Pessah (et tiennent toutes les autres prescriptions du Seder, comme manger du Maror, le recit de la Haggadah, ...), c'est pour la raison qu'elles ont elles aussi beneficie du miracle de la sortie d'Egypte (Choulhan Aroukh, Orah Hayim 472:14 ; Michna Berourah 472 : 14 - 15).
Pour le Kiddouch, la Guemara (Brakhot 20b) donne une autre raison : comme les commandements de sanctifier le chabbat et de le garder (zakhor ve-chamor) sont lies l'un a l'autre, les Sages en ont deduit que les personnes qui, comme les femmes, sont obligees de garder le chabbat ("chamor", c'est-a-dire les mitsvot negatives), sont egalement obligees de le mentionner ("zakhor"', soit la mitsva de faire le kiddouch) - cf. Orah Hayim 271 : 2.
2. Les 4 coupes de vin ne sont pas une Mitsva Derabanan independante. Elles se rattachent a la Mitsva Deoraita de raconter la sortie d'Egypte (Sipour Yetsiat Mitzraim), dont elles sont une des modalites d'execution. Voyez a cet egard le Sefer HaHinoukh, Mitsva 21, surtout le dernier paragraphe.
3. Je ne suis pas sur d'avoir compris quelles sont les phrases que l'on repete deux fois d'affilee. Les versets de la fin de l'office de Neila, lorsque l'on finit Yom Kippour ?
Quoi qu'il en soit, la halakha dont vous parlez est codifiee dans Orakh Hayim 61:9. Le souci est d'eviter de paraitre accepter l'existence de plus qu'un Dieu. Vous pourrez constater qu'il existe en consequence pas mal de heterim : si l'on est tout seul ; si l'on fait une pause entre les deux versets (par exemple, le temps d'ecouter le Chaliah Tsibour) ; etc.
Chers Rabanim,
afin de ne pas abuser de votre temps, je souhaiterai regrouper ici quelques questions :
1°) lorsque l'on doit avoir une relation intime conjugale, faut il faire le Kriat-Chéma-Al-Hamita avant ou aprés ? (de peur de s'endormir ou de ne pas etre vétu correctement) qu'en est il pour l'interdiction de parler apres le Chéma ?
2°) lorsque l'on est dans la chambre de ses enfants pour les endormir (parfois des soirées entières) est il permis d'y prier Arvit ? étant entendu que les enfants sont vêtus de pyjamas et couverts sous les couvertures.
3°) peut on faire la Amida avec un enfant dans les bras ?
4°) pendant les périodes de Nida, lorsque les lits sont séparés, est il permis de les coller afin de faire dormir entre le mari et sa femme un enfant qui, pour X ou Y bonnes raisons, a besoin de passer la nuit avec ses parents ? (je précise dans mon cas que si les lits ne sont pas séparés, si un enfant qui bouge beaucoup en dormant y dort il risquerait d'y tomber, qu'il soit à droite ou gauche du lit, du père ou de la mère - voilà pourquoi je demande si on peut les coller)
merci d'avoir la patience de me lire et la bonté de me répondre.
Tizkou laMitzvot.
Chalom
Il me semble que toutes ces questions ont déjà été posées, je vous réponds donc en style un peu télégraphique, sans références:
1. Après.
2.Oui. Même s'ils ne sont pas couverts, pourvu qu'ils ne soient pas nus.
3. De préférence non? Ce n'est pas idéal pour la concentration.
4. Oui
Chalom,
Questions diverses:
1/Est-il autorisé de faire sortir des moustiques par la fenêtre en les poussant vers l'extérieur chabbat?
2/ A-t-on le droit d'étudier la tora allongé dans son lit? Si oui, est-ce aussi autorisé en caleçon?
3/ Si un match de foot amateur (non payant) se joue à côté de chez moi chabbat ai-je le droit d'aller le voir?
4/ A-t-on le droit de se sécher les mains avec une serviette éponge (cad serviette de bain classique) chabbat?
5/ Ai-je le droit pdt chabbat de rechercher un objet non mouqtse dans un sac dans lequel se trouve un objet mouqtse (ex. ordinateur portable) que je vais être amené à bouger dans le sac?
6/ J'ai récemment fait tomber mes tefilin par terre (ils n'étaient pas dans leur boitier) et du coup j'ai jeuner deux dimanche jusqu'à la mi-journée. Le pb c'est que j'ai cassé mon jeune le deuxième dimanche 10mn avant l'heure exacte de la mi-journée. Est-ce que je dois renouveler mon second jeune voire les 2?
J'espère ne pas vous avoir donner trop de peine à répondre à toutes ces questions
Merci d'avance
Chalom
1. Oui, si vous les tuez pas et ne les attrapez pour atteindre ce but.
Il est interdit de "chasser" Chabat, mais il est autorisé de "chasser". Le premier chasser signifiant "attraper".
2. Oui, on peut étudier allongé. J'aurais évité les caleçons, mais autorisé le short.
3. Oui, même si certains affirmeront que ce n'est pas une occupation très chabatique, et auront raison. Mais on ne peut pas l'interdire.
4. Oui. Avec quoi voulez-vous vous essuyer les mains?
5. Oui, si vous ne déplacez pas avec la main l'objet mouktsé de manière habituelle, mais par exemple avec le dos de la main (Chemirat Chabat Kehilkhata 22, 34)
6. Taper chute tefiline sur le moteur pour trouver des références sur le sujet.
Je ne crois pas que pour les dix minutes manquantes vous devriez rejeûner, mais ne pourrais donner de références pour baser mon raisonnement.
bonjour,
j'ai deja pose certaines questions concernant ce sujet mais j'avoue etre legerement perdue.Pourriez vous me confirmer mes dires;
chez les sefaradim, les selihot se font a partir du lendemain de roch rodech elloul jusqua kipour au matin.?
apres les selihot nous sonnons le chofar et ce jusquau jour de kipour compris.?
La veille de roch hachana nous ne sonnons pas le chofar apres les selihot du matin.?
on ne dira pas la veille de roch hachana et le jour de roch hachana tahanoun.?
la veille de roch hachana et kipour il ya des selihot le soir .?
durant les selihot du soir de la veille de roch hachana on dira tahanoun,?pareil pour la veille de kipour?
dans chaque amida de roch hachana on fait le vidouy ,?
le jour de roch hachana et kipour il ya des selihot le matin,?
SI oui apres les Selihot de ces deux matins sonnons nous le chofar?
ENTRE ROCH HACHANA ET KIPOUR ON EN PORTE PAS LES TEFILINES;,?
IL Ny a pas tahanoun de la veille de kipour jusqua fin tichri
MERCI
– Chez les Séfarades, les seli‘hoth se disent à partir du lendemain de roch ‘hodech eloul jusqu’à la fin de Yom kippour.
– Après les seli‘hoth on sonne le chofar, et ce jusqu’à la veille de Roch hachana exclue.
– La veille de Roch hachana on ne sonne pas du tout le chofar.
– Dans le rite achkenaze, on ne dit pas Ta‘hanoun la veille de Roch hachana, ni à partir de la veille de Yom kippour jusqu’après Soukoth (dans beaucoup de communautés jusqu’après Roch ‘hodèch ‘Hechwan).
– On récite des seli‘hoth à Ma‘ariv de Yom kippour.
– Il n’y a pas de widouï à Roch hachana.
– Il n’y a pas de seli‘hoth à Roch hachana.
– On porte les Tefiline entre Roch hachana et Yom kippour.
Bonsoir,
1) D'où vient la coutume générale d'allumer des Bougies pour Yom Tov et de dire la bénédiction Chel Yom Tov (le Rambam ne parle d'allumer et de dire la bénédiction que pour les Nerot Shabbat)?
2) De quand date et qui a institué la lecture de la Paracha du Tamid (Korbanot / Là encore, le Rambam ignore cette coutume dans son Nusach).
3) A propos de Sukkot, je n'ai malheureusement jamais eu l'occasion de faire cette fête. Alors, je vais m'y mettre. J'ai commandé une Sukka via internet.
Mais là encore, je suis perdu sur la façon d'"agiter" le Lulav et l''Etrog. J'ai lu le Rambam à ce sujet qui dit: devant, en arrière, en haut et en bas (3 fois dans les 4 directions). Or j'ai aussi lu qu'il doit être agité dans 6 directions.
En outre, la cérémonie du Lulav se fait-elle dans ou hors de la Sukka?
En plus, je ne saisis pas trop à quel moment du Hallel ont fait tout cela...
J'ai cherché dans "Recherche" mais je n'ai pas été éclairé...
Pardonnez ce flot de questions!
Shalom ve Shavua Tov!
1. L’usage qui consiste, la veille des fêtes, à allumer des lumières en leur honneur a été énoncé par Rambam/Maïmonide (Hilkhoth Yom tov, chapitre 6). Celui-ci considère que l’on doit honorer l’entrée des jours de fête comme on honore l’entrée de Chabbath.
A noter toutefois que si, dans la plupart des communautés, on récite une berakha spécifique (« le-hadliq nèr chel yom tov »), certains fidèles de rite yéménite s’en abstiennent, et ce au motif que l’on doit, en toutes circonstances obéir à Rambam. Or, celui-ci n’a pas mentionné la récitation d’une berakha.
2. Après la destruction du Temple, les rabbins ont ordonné que l’on rappelle dans nos prières les sacrifices que cette destruction nous interdisait désormais de présenter à Hachem.
3. On agite le loulav dans six directions : devant soi, à droite, derrière soi, à gauche, vers le haut et vers le bas, avec des nuances selon les rites.
Cette mitswa n’est pas exécutée dans une Souka, mais pendant l’office de Cha‘harith, avant et pendant Hallel (Pour plus de détails, consulter le Kitsour Choul‘han ‘aroukh, chapitres 136 et suivants).
en réponse à la question 43947,
Dans la synagogue marocaine, dans laquelle j'ai l'habitude de prier, nous récitons la berakha des arbaat haminim dans la souca de la synagogue avant le halel.
Merci pour cette intéressante précision.
Bonjour,
J'ai quelques questions à vous poser et vous remercie encore pour votre patience et vos efforts pour la communauté.
1/ j'apprends l'hebreu et arrive à le lire à la vitesse d'un escargot; je débute par ce que j'estime être le plus important la Birkat hamazone. La meziga doit elle se faire à chaque fois lors de "hattova" ou peut le zapper?
2/ normalement après la brakha netilate yadaîm on doit se taire? jusqu'à ha motsi. Y a t'il des situations qui font que cela n'est pas toujours respecté?
3/ Je pars 3 semaines cet été en Isrâel pour la première fois; Quelle prière dois-je réciter devant le Kotel ? Y a t il des prières spécifiques pour honorer certains lieux comme à Yad vashem ou à Massada?
J'apprends à l'instant que le jeune soldat Guilat Shalit va être libéré prochainement, D. est Grand et Miséricordieux!
Merci pour tout !
Je n'ai pas compris la question 1. Pour la 2, il ne faut pas parler entre la brakha de netilate yadaîm jusqu'au motsi pour ne pas risquer de faire une interruption entre les deux. Mais si on veut demander quelque chose qui a trait à la mitzva [p.ex. d'amener du sel ou un couteau pour couper le pain], parler est permis.
3. il existe des livres de tehilim auxquels on a joint des prières pour le kotel et autres, mais il n'y a aucune obligation spéciale. Le mieux est de lire quelques chapitres de tehilim et d'ajouter une prière personnelle dans tes mots.
Bonjour et merci de nous éclairer aussi bien que vous le faites
De nos jours les juifs et les chrétiens définissent la torah comme étant les 5 premiers livres de l'ancien testament appelés le Pentateuque la torah est censé avoir été écrite par Moise sous inspiration divine mais deja en la lisant plusieurs problèmes se posent nous pouvons lire les expressions "et le seigneur dit à Moise" et " Moise dit au seigneur" et ainsi de suite on voit bien que c'est quelqu'un qui écrit à la 3eme personne qui parle de ce qu'il a entendu.
On y trouve plusieurs type d'inceste et quel type d'inceste vous pouvez commettre.
Dans certaines éditions de l'ancien testament vous pouvez lire:
Genese : "1er livre de Moise"
Exode : "2eme livre de Moise"
Levitique : "3eme livre de Moise" ect
Vous remarquerez les parenthèses selon les éditeurs c'est entre parenthèses car 32 des plus grands érudits chrétiens appartenant aux 50 plus grandes coopérations chrétienne du monde ont concluent que ce n'était pas de Moise.
Dans le chapitre 34 du Deuteronome ca parle de la mort et de l'enterrement de Moise comment Moise a t-il pu écrire ca? et comment ca peut être la révélation donnée sur le mont Sinai? Sa mort est décrite au passé.
Dans la Genese Chapitre 1 versets 9 à 13 il est dit que la terre a été créé le 3eme jour Genese chapitre 1 versets 14 a 19 il est dit que le soleil et la lune ont été créé le 4eme jour aujourd'hui la science nous dit que la terre fait partie du corps parent du soleil donc elle ne peut pas avoir été créé avant le soleil la torah nous dit aussi que la végétation les plantes les arbres ont été créé lors du 3eme jour et le soleil a été créé le 4eme jour comment la végétation peut t-elle avoir été créé et peut survivre sans la lumière du soleil?
1. La question de l’attribution à Moïse de la totalité ou d’une partie seulement du Pentateuque fait partie du débat judéo-chrétien. Je n’y interviendrai pas ici.
2. Votre phrase : « On y trouve plusieurs type d'inceste et quel type d'inceste vous pouvez commettre » m’est incompréhensible. Veuillez la formuler à nouveau plus clairement.
3. Le judaïsme s’est longtemps demandé comment prendre en compte les quatre premiers jours de la Genèse, antérieurs à la création du soleil, et pourtant indispensables pour différencier le jour de la nuit.
Par ailleurs, la création des végétaux a eu lieu le troisième jour (Genèse 1, 11), alors que le soleil, dont le rayonnement est indispensable pour les faire pousser, n’est apparu que le quatrième (1, 15 et suivants).
Les savants juifs de stricte observance considèrent aujourd’hui qu’il n’y a pas d’incompatibilité entre la datation de l’univers à partir du « big bang », c’est-à-dire à partir de l’explosion de la matière primitive qui a donné lieu à la naissance de l’univers il y a environ quinze milliards d’années, et celle qui résulte de l’énumération dans la Tora de sept jours de la Genèse.
On peut donc dire qu’il n’est pas aventureux, au regard de la tradition juive, de donner au mot « jour » du premier chapitre de la Genèse une signification toute différente de celle que nous lui connaissons aujourd’hui.