Conversation 41428 - Est-il cohen?

yaelouche
Lundi 7 avril 2008 - 23:00

merci de me repondre a cette questions:voila je suis avec un hommes qui dis etres cohen son nom nes pas cohen.il dis que ces de pere en fise,de roumani avant la guerre son grand pere a changer de nom.mais son arrier grand- pere avais perdu ces parents tres jeune il avais a peine 6 ans.il a etais elever j ai ces soeur qui elle etais marier a un cohen.il a gandis il a commencais a aprendre comme un cohen la bar mitsva ect.. birkath hacohanim...lorsque qu il a grandi ,il est restez comme sa et ce comport comme un cohen,ces enfants et petit enfants croives qu ils sont cohen.comment le prouvez qu ils ne sont pas.je me trouve avec le petit fise je suis divorce et lui donc cohen.on veux se marier.aidez nous s.v.p. je sais que ces une dur questions et une drole d histoirs.todah rabah

Rav Elie Kahn z''l
Mardi 8 avril 2008 - 13:08

Chalom

C’est une question intéressante que vous posez là, mais j’ai du mal à voir comment je pourrais y répondre sérieusement à distance. Il faudrait consulter un rabbin sur place.

bebesimha
Samedi 12 avril 2008 - 23:00

Au sujet de la question 41428 , mon mari venant de roumanie aussi, ne s apelle pas Cohen et pourtant un Cohen, il l a apprit seulement en 1983 c est a dire a l age de 29 ans en allant se receuillier pour la premiere fois sur la tombe de son pere en Roumanie. Elle etait dans le carre reserve aux Cohanim et etait ecrit dessus son nom de famille suivit de ha cohen. Bien sus qu il a ete tres ettone d apprendre cela a son age. (Son pere etant decede, mon mari avait 2 semaines, donc on ne lui avait jamais dit)

Jacques Kohn z''l
Lundi 14 avril 2008 - 01:48

Il n’est pas nécessaire de s’appeler Cohen pour appartenir à la catégorie des kohanim.

Il est des kohanim dont le nom de famille n’est pas indicatif de leur état.

Il en est d’autres qui désignent des kohanim, soit par déformation de l’hébreu (Exemples : Cahen – Caïn – Kahana – Kahn – Kohn, etc…), soit par emprunt à des langues vernaculaires (Munk (de l’allemand « moine ») – Kaplan (équivalent de « chapelain ») – Kagan – Kaganowitz, etc…).

Je précise toutefois que le port d’un nom de cette sorte ne constitue pas une présomption irréfragable que l’on est un descendant d’Aron. C’est ainsi qu’il existe des gens appelés « Cohen » qui ne sont pas des kohanim.

Cependant, la découverte dans un carré réservé aux kohanim d’une ancienne pierre tombale portant l’indication : « ha-kohen » crée une présomption sérieuse pour les descendants mâles du défunt qu’ils sont effectivement des kohanim. Il conviendra dans un tel cas de consulter le rabbin de sa communauté, seul apte à tirer publiquement les conséquences de cette découverte.