Conversation 41770 - Minhaguim du mari et activité culinaire (2ème réponse)

laurette
Samedi 26 avril 2008 - 23:00

Suite de la question 41752 :((Minhaguim du mari et activité culinaire ))

Au sujet de votr réponse , je conçois et j'accepte la régle posée par la guémara en ce qui concerne le fait que c'est la femme qui s'installe chez son mari et non pas le contraire ... c'est donc Le mari qui acceuille son épouse .
Mais dans notre société moderne ou justement il y a de plus en plus de liberté , le mari n'acceuille pas toujours sa femme

.Que dire donc de cette situation ?

je m'explique , il y a de plus en plus de femmes travaillents et sont libre ,qui ont leur appartement personnel avant meme de rencontrer l'homme idéal . Le jour venue du mariage , souvent Le Mari s'installe chez son épouse ..
Dans ces cas là , es ce que la règle posée pas la guémara tient elle toujours ?
Dans cette situation ou c'est la femme qui acceuille son époux la régle ne devrais elle pas etre inversé ?

De plus , de nos jours , les futurs époux cherchent souvent un lieux ou vivre ensemble , la femme tout comme le mari participe de la meme maniere ... donc il n'y a plus d'homme qui acceuille sa femme , mais un couple qui découvre son lieu d'habitat .Que dire dans cette situation ?

Derniers points , que dire alors de ce couple jeune marié , qui doit vivre chez les parents de la Femme , ( car manque de moyens ou autre ..) .
Dans cette situation ou c'est carément le Pére de l'épouse qui acceuille son gendre chez lui ? Le gendre ne devrais t il donc pas prendre les coutumes de son beau pere ?

Je sais que je pose beaucoup de questions , mais elles sont pour moi importantes du fait qu'elles n'ont pas les memes situations .

Merci beaucoup cher Mr Khon pour vos réponses .

Shalom

Jacques Kohn z''l
Lundi 28 avril 2008 - 02:09

Les situations que vous énumérez (accueil du couple par l’épouse ou par les parents de celle-ci) ne modifient en rien la règle selon laquelle la femme doit adopter les us et coutumes (« minhaguim ») de son mari.

Les premières sont d’ordre sociologique, la dernière d’ordre religieux.

Il n’est pas permis de réformer une règle religieuse au motif que les circonstances du moment l’auraient rendue désuète.