Conversation 43350 - Mariage en Israël

judith07
Samedi 9 août 2008 - 23:00

Bonsoir,
Je souhaiterais me marier à Jerusalem en juillet 2009 (avant les 3 semaines de tichabeav). Je vis à Paris, il vit en province. Nous ne pourrons nous rendre qu'une fois en israel avant le mariage pour aller à la rabbanout car nos professions ne nous laissent pas davanatge de jours pour nous y rendre ensemble. Savez-vous si en une journée nous pouvons arranger les papiers de rabbanout pour notre mariage en israel ou faut il prévoir plus qu'un rendez-vous ? Son oncle est en contact avec la rabbanout d'ashdod est-il possible de régler nos papiers à la rabbanout d'ashdod si nous nous marions à Jerusalem? Dernière question, comment se passe le rendez-vous faut -il que nous nous rendions avec des témoins comment les choisir ? merci judith

Rav Elie Kahn z''l
Vendredi 15 août 2008 - 01:45

Chalom

A votre place je vérifierais la possibilité de vous marier en Israël sans vous inscrire à la rabbanoute en Israël, mais chez vos rabbins respectifs en France.

judith07
Vendredi 15 août 2008 - 23:00

chavoua tov
Suite à la question réponse 43350 il n'est pas nécessaire d'aller à la rabbanoute en israel pour notre mariage en israel, je pensais que c'était obligatoire. Le consistoire à Paris suffit ? merci

Rav Elie Kahn z''l
Mercredi 20 août 2008 - 10:54

Chalom

Renseignez-vous au consistoire.
Mais si vous n'êtes pas citoyen israélien, je ne crois pas qu'il soit nécessaire de faire appel au rabbinat et au ministère de l'intérieur israélien..

TUNIS DE TABLE
Samedi 15 mai 2010 - 23:00

bonjour un ami doit marier sa fille en Israel.celle ci veut se marier dans ce qu'on appelle les" chetahim".mon ami refuse en disant qu'il se sentirai mal a l'idee de mettre ses invites en "danger" .Je convient qu'il est délicat de répondre a cette question mais son argument est t il "valable" selon la halaha .Bien entendu on est peut être pas obliger d'ecouter ses parents mais quand meme ....

Jacques Kohn z''l
Mardi 18 mai 2010 - 01:05

Beaucoup de gens organisent en Israël leur mariage ou celui de leurs enfants, sans que leur choix soit toujours désintéressé.

Quant au lieu de leur célébration, « on ne peut répondre de son courage quand on n'a jamais été dans le péril » (La Rochefoucauld).