Conversation 50178 - La Cabbale et nous
recament mon pere est passer a avignon et est passer devant un magasin "CENTRE KABALISTIQUE" .
il n'avait pas de mezouza et se n'étais pas des juif. je sais que beaucoup de goy etudier la kabala.
1.comment il peuvent supporter des tel niveau de la thora?
2.qui leur a rendu accé a cela (il non pas du aprendre tout seul car avant de etudier la kabale il faut aprendre a lire hebreus)?
3 on t'il vraiment droit de faire cela et devont nous les empecher (car la kabala comme toute la thora doit être étudier pour se raffiner et pas étancher sa soif de connaissance et surtout pas pour l'abaisser dans la touma comme le fait madonna
La Cabbale est devenue aujourd’hui, dans certains milieux, juifs et non juifs, éloignés de la Tora, un article de consommation courante.
Cependant, les rabbins du dix-septième siècle, à la suite de l’aventure du faux messie Sabbataï Tsevi, ont décidé qu’il fallait, pour pouvoir étudier cette discipline, être marié et âgé de plus de quarante ans, et être érudit en Tora et en Talmud (Voir notamment Sabbataï ben Méir ha-Kohen, ou Chakh [1621-1662] sur Choul‘han ‘aroukh Yoré dé‘a 246)
Chalom Kvod HaRav,
J'ai entendu parler dernièrement de l'organisation "Bnei Baroukh", dirigée par monsieur Leitman. Un de mes proche suit ces cours de manière très assidue, il m'a même montre un cours sur Internet. J'avoue avoir regarde tout ca avec un apriori très négatif, car quand il m'a dit qu'il suivait des "cours de Kabala", une sonnette d'alarme a raisonnée dans ma tête. Bref je reste avec une impression de malaise assez nette, et je ne savais pas trop quoi lui dire. D'un cote, cette personne n'est pas pratiquante du tout, donc je ne voulais casser son intérêt pour quelque chose qui (peut être) pourrait lui être profitable dans l'avenir, mais d'un autre cote, il ne me semble pas que la Kabala puisse être prise a la légère.
Ma question se rapporte donc a cette organisation. En avez vous entendu parler, et si oui, est-ce raisonnable d'apprendre sur la kabala ou le judaisme en suivant leur cours. Ou dois-je tenter de dissuader cette personne de continuer?
Merci.
Veuillez vous reporter à ma réponse N° 50178 du 17 décembre 2009.
suite a la question 52316:
Kvod HaRav,
Je me permet d'insister pour avoir une réponse personnelle. J'ai bien compris qu'il y a un problème a traiter la kabala comme un "objet de consommation courante" et de l'enseigner en publique, et c'est justement pour ca que je me suis tourne vers vous. Cependant, ma question portait sur l'attitude a adopter envers cette personne en question. Dois-je tenter de la dissuader de continuer a suivre ces cours?
Merci pour votre temps.
Il m’est impossible de répondre à cette question, qui dépend de vos relations personnelles avec celui qu’elle concerne, et de sa réceptivité à vos conseils.