Conversation 68376 - Touche pas à ma bouteille

Emouna.Torah
Mardi 26 mars 2013 - 22:00

URGENT:

Bonjour,

J'aurais besoin de connaître, en urgence, la réponse a ma question.
En considérant qu'une bouteille de vin n'est pas Mevushal, elle se doit d'être ouverte par un chômer ( shabbat). A partir de combien de temps pouvons nous considéré, une personne chômerette shabbat.
Une femme peut elle être "chômer" pour ouvrir du vin ?

Pour finir, nous avons besoin d'un chômer uniquement pour ouvrir ou également pour servir le vin ?
Si nous vendons une bouteille, devons nous nous soucier de qui, et comment elle sera ouverte/servie ?

Merci par a avance,

Kol Touv.

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Rav S.D. Botshko
Jeudi 28 mars 2013 - 00:22

Dès la minite qu'uine personne prend sur elle de respecter chabbat, elle devien chomer Chabbat.

De plus certainsz auteurs n'interdisent pas le vin ouvert pas une personne de respectant pas chabbat. Ceci pour deux raisons. L'interdit de boire du vin nonjuif est pour lutter contre l'assimilation et les mariages mixtes, ce qui n'a pas lieu d'être avec une personne juive même non respectueuse de la Halakha. D'autre part, certain auteurs disent que la notion de profanateur de Chabbat n'existe pas aujourd'hui, tous étant considéré comme "Thnok Chenichba" ou en d'autres termes comme irresponsables n'ayant pas eu l'occasion d'apprendre vraiement ce qu'était le judaïsme.

Une femme peut bien entendu ouvrir des bouteilles et servir.

Le chome ne doit pas se contenter d'ouvrir la bouteiile. Il est nécessaire aussi que ce soit un Juif qui serve le vin

Avix
Dimanche 11 août 2013 - 23:00

Bonjour,
Suite a la question 68376 ma question est la suivante: peut on S'ACQUITTER d'un kidoush fait par une personne non chomer chabbat (si le vin est mevouchal bien sur...) ? Puisqu'il aura pas forcément tte la kavana comme celui d'un chomer... Merci

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Rav Samuel Elikan
Mardi 13 août 2013 - 07:19

Shalom,
Pourquoi pensez-vous qu'il aura une moins bonne intention (kavana)?!
On peut s'acquitter de sa bénédiction puisque celle-ci est la preuve qu'il accepte le shabat et est prêt à le sanctifier (c'est l'avis de la grande majorité des décisionnaires - tels le Maharsham, Sdei H'emed, Zeh'er Yehossef, Rashban, Iggrot Moshé (resp. YD IV 58), Or LeTzion (resp. II 20,5), etc.).
Kol touv