Conversation 32976 - C'est la meme

Un de nos sages à dit : "ta première et ta dernière épreuve, c'est la même". Malheureusement je ne retrouve pas dans mes livres de qui est cette citation et d'où elle serait tirée. Si vous pouviez m'éclairer sur sa signification car pour moi je vois cela comme quelquechose de très fataliste et aussi dans le fait qu'à chaque fois on est confronté à ses anciens démons, bref, cette phrase m'angoisse !
Merci beaucoup pour toutes vos précédentes réponses et bravo à Cheela qui est un site formidable.

Bonjour et merci de votre réponse à ma question 32976. Cependant, je ne suis pas d'accord avec vous. la naissance et la mort ne sont pas des épreuves à mes yeux, elles sont justement les seuls événements sur lesquels l'homme n'a aucune prise. Selon moi, une épreuve c'est quelquechose qui nous est donné par D. pour nous éprouver justement, pour tester notre capacité à choisir entre le Bien et le Mal. Ce qui n'est pas le cas pour la naissance et la mort. De quelles épreuves il s'agirait alors ?

Ceci est plus une constatation qu'une question.
Je suis indignée mais malheureusement pas surprise de voir comment Monsieur Khan a répondu à ma dernière question portant sur une maxime que j'avais lu qui disait ceci : ta première et ta dernière épreuve c'est la même. Je suis indignée, oui, car à part les question concernant les ustensiles et l'heure de Minha, il n'y a pas tellement de place pour la sagesse juive et l'aide que ce site est censé apporter à toute personne de la communauté. En effet dès qu'il s'agit de savoir à quelle heure rentre Shabat et si on prend telle ou telle casserole pour cuire le beurre, là les réponses affluent. Alors qu'il y a des livres entiers consacrés à cela. En revanche dès qu'il s'agit d'une question telle que la mienne, Monsieur Khan remet en doute la éracité de mes propos, ce qui est toujours très délicat et très agréable et on me rembarre en disant que sous prétexte qu'il y aurait un doute quant à l 'exiqstence d'une telle phrase on ne prendra pas le temps de chercher et d'y répondre. Alors je vous demande Monsieur khan, pourquoi y avoir répondu en partie dans votre première réponse ? C'était pour me donner un os à ronger ? Vous ne pouvez pas dire que vous ne connaissez pas cette phrase et que ça n'évoque rien pour vous mais que si quelqu'un d'autre des rabbanim avaient une réponse il me la ferait parvenir ? Non, au lieu de cela, vous parler en terme de 'nous' alors qu'il serait de bonton de tire 'je' puisque je ne pense pas que vous parliez au nom des autres rabbanim (la raison est une évidence). Et vous laissez une personne comme ça dans le désarroi d'une question qui la trraude et qu' vous la fais savoir à maintes reprises.
Mais où est le judaïsme là-dedans ? Qu'est ce qu'il nous reste de juif ? Ne pas aider son prochain et en plus le renvoyer en quelque sorte en employant ce nous et lui faisant sentir qu'il est seul puisqu'il ne faitpas partie de ce 'nous'. Je suis attristée mais je le répète, pas surprise de tels propos et de telles attitudes car c'est aujourd'hui monnaie courante puisque des tas de rabbins étudient toute la journée, respecte la cacherout et rentre chez eux pour battre ou insulter leur épouse. C'est une réalité qui me ramène toujours à cette question : qu'est ce qu'il y a de juif là-dedans ?
Voilà, je suis une juive qui me sens bien loin de la communauté et qui ne trouve pas à se marier à 37 ans aussi pour ces raisons et je me sens bien loin de cette communauté dite 'juive'.